
pasque c’est un truc qui m’a toujours titillé.
faire des correspondances stupides entre la fiction & la réalité.
en plus entre le temps que je me mette en route, les ricains m’avaient déjà piqué l’idée (http://smokingsection.uproxx.com/TSS/2009/02/if-rappers-were-characters-from-the-wire), alors comme on aime pas trop recycler les merdes ici, on a fait la même mais en français. y’en a dans la caboche du blavog quand même.
si y’a des trucs qui vous paraissent incohérents, si vous avez de meilleures idées pour les parallèles à faire, et ben j’en ai rien à foutre mettez les en commentaires, soyez pas timides.
et ce sera en 2 ou 3 parties, parce que les images & wordpress c’est relou, surtout quand on fait aucun effort et pis comme ça vous aurez l’impression d’être gâtés 2 fois plus bande de ptits canaillous.
Avon Barksdale


Passi
le mec arrivé quoi. installé, il a fait son biff, même en dehors du game il continue d’être une figure de poids et de mailler.
Stringer-Bell


Kenzy
bizness man dans l’âme jusqu’au bout, un poil trop sans doute, ses pairs ne l’ont pas toujours compris. il a contribué à construire un empire mais il s’est écroulé juste au moment où il touchait au but : la respectabilité.
Prop’ Joe


pasqu’il est gros et qu’il a une bonne tête, et bien qu’un peu roublard, il reste sympa quand même. en plus il est là depuis longtemps et toujours de la bonne came. un mec cool, quoi.
http://www.dubcnn.com/media/audio/driver-meccool/
wallace


Disiz la Peste
la gentillesse n’est pas faiblesse, sauf quand elle l’est. trop naïf pour ce monde de brutes, fallait qu’il parte.
Chris Partlow


Mala
« tu m’connais pas, moi… »
il est sale, il exécute sans poser de questions, on ne comprend que très rarement ce qu’il pense, et encore ça c’est quand il parle.
Felicia « Snoop » Pearson


Casey
« perhaps the most terrifying female villain to ever appear (in a television series). » c’est pas moi qui le dit, c’est Stephen King. vraie citation, tu peux vérifier si t’as que ça à foutre.
bah oui. forcément. ça tombe sous le sens. Zec to zec.
marlo


booba
des glaçons dans les veines, les canines qui rayent le parquet, il ne s’arrête jamais avant d’obtenir ce qu’il veut, et ce qu’il veut c’est souvent beaucoup trop. et il pète plus haut que son cul desfois, aussi.
Brother Mouzone


ILL
aucune ressemblance dans le caractère, mais c’est le tueur que sa réputation précède, en plus il disparaît quand tu t’y attends pas et réapparaît quand tu l’attends plus, donc on est obligés.
Cheese


Kennedy
tu sais pas trop pourquoi mais quelque chose te dit qu’il bouffera à tous les râteliers, il change d’équipe comme de casquette et malgré ça on le déteste pas non plus, même si « this boy has been nuthing but a deception ».
Michael


Escobar Macson
jeune prodige du quartier, précoce, doué en tout, pris en charge par les mauvaises personnes ce qui ne lui rendra pas service, maintenant il veut sa part.
Dukie


Nubi
même situation que michael, mais avec encore moins de chance, et beaucoup moins débrouillard apparemment.
Nick Sobotka


seth gueko
représente les ouvriers, flirte avec la rue et, livré à lui-même, finit par se ramasser la gueule comme on le sentait depuis un moment.
Ziggy Sobotka


orelsan
un brave petit gars à la base, mais le manque de confiance en soi ça mène à des tragédies.
Sergei « Serge » Malatov


sefyu molotov
pas seulement pour le nom et l’accent, mais aussi pour ça : « he had a head ? he had arms ? so it wasn’t us » —> quand t’entends boucher, y’a lui qui va avec.
Bodie


Salif
trop rue pour gravir les échelons, il finit par foutre un chassé dans la fourmilière pour se faire entendre, ghetto soldier style. en général ça réussit moyen niveau plan de carrière.
Cutty 

Fabe
repenti, il a fait le tour du game, maintenant il observe de loin sans trop d’illusion, même si les plus jeunes le calculent plus, son nom est encore respecté des connaisseurs.
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